La mémoire
quoi faire ?
Les germes du fascisme sont
consubstantiels au capitalisme, comme le sont les crises
économiques périodiques. En tant que tel, il est destiné à refaire surface
périodiquement puisque le capitalisme continue à
être le mode de production socio-économique dominant.
Si l’on ajoute, comme le disait Jean Jaurès que « le
capitalisme portant lui la guerre comme la nuée porte l’orage ! ».
Il y a toutes les raisons de détruire et je dis
bien détruire le capitalisme comme système dominant. Lorsque j’entends
le porte-parole du gouvernement Olivier Véran dire (ce matin 18 juillet 2022
à l’émission les quatre vérités) que taxer les superprofits ça n’est pas
efficace j’ai presque envie d’être d’accord avec lui. Taxer les profits c’est
légitimer le capitalisme (il faut des profits pour qu’on puisse les taxer).
Et là, je me sépare d’Olivier Véran, il faut tout
prendre et pour cela virer ces parasites de PDG et autres actionnaires, s’approprier
les moyens de production et d’échange, maîtriser la production de biens utiles
en socialisant (à l’instar de ce qu’était la sécurité sociale entre 1946 et
1960 un établissement sans PDG et sans actionnaires qui appartiennent au peuple),
l’ensemble des entreprises dominantes.
Favoriser une agriculture paysanne saine en mettant à
disposition la terre à ceux qui la travaillent.
En fait, le communisme.
Combien de nos chairs se
repaissent !
Mais
si les corbeaux, les vautours,
Un
de ces matins disparaissent,
Le
soleil brillera toujours.
(L'Internationale)
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